Comment se préparer financièrement suite au coronavirus

Pendant la crise du coronavirus, la principale crainte de mon réseau est l’impact économique, pas tellement la maladie en soi.

Même si je reste optimiste sur le long terme, je suis convaincu que nous sommes en train d’assister à un grand nettoyage !

Beaucoup d’entreprises n’avaient déjà plus leur place dans notre société avant la crise et beaucoup d’entre elles vont faire
faillite.

Je partage avec vous les conséquences économiques auxquelles on peut s’attendre suite au coronavirus et ce que vous pouvez
mettre en place pour vous préparer.

Le discours du riche qui devient plus riche est de plus en plus présent dans les
médias. Le transfert de richesse … Les inégalités qui s’accentuent…

Ceux qui vivent à flux tendu, qui n’ont pas mis de côté, vont probablement commencer à s’énerver
rapidement.

Cette situation peut vite dégénérer et se retourner contre ceux qui ont été prévenants.

En investissant dans des valeurs refuges : devises étrangères, immobilier à l’étranger, etc.

On vous pointe du doigt !

Ceux qui se sont préparés auraient-ils accès à de l’information injuste ?

Absolument ! Mais on ne peut que les féliciter, à mon sens, de s’être éduqués et
d’avoir agi en conséquence.

Aujourd’hui, ceux qui se sont préparés, qui ont pris des précautions, sont vus comme des vilains !

Ce discours n’est pas nouveau et bouillonne en surface depuis des années.

Maintenant, avec une crise comme celle que nous sommes en train de vivre, il me semble logique de voir la popularité du
socialisme monter en flèche.

Ce qui peut se traduire en un enchaînement de réformes fiscales, changements de plafonds et seuils…

Aujourd’hui, l’État annonce vouloir sauver tout le monde avec sa planche à billet illimitée.

Bien ! Mais les impôts vont augmenter !

Et comme nous l’avons vu, ce sont les entreprises qui sont le moins impactées qui paieront la les pots cassés.

La Tribune parle d’un impôt de guerre contre le covid-19, visant à taxer de manière exceptionnelle les milliardaires et
les géants du numérique.

Cela ne vous concerne probablement pas (pour le moment).

Mais il “suffit” de gagner 8.850 euros
par mois en France pour appartenir au club des 1%. Soit 106.200 euros par an avant impôt.

Si vous avez une boutique e-commerce qui tourne fort en ce moment, c’est potentiellement ce que vous faites quelques
jours ou en un mois.

Certains de mes clients expatriés en Estonie ont déjà ce genre de résultat !

La tendance est claire et les intentions de la plupart des pays développés vont dans cette direction !

L’ironie dans tout ça, c’est que cet argent, créé de nulle part, sert en partie à sauver des entreprises qui, avant cette
crise, étaient déjà fragiles et qui n’ont tout simplement leur place dans notre société actuelle.

Et ce serait à nous de payer ?

Même si il est difficile de prédire l’avenir puisque tous les scénarios sont sur la table, il est facile d’envisager que
les impôts vont augmenter en France, pays endetté à 230 % de son PIB (dette privée et publique) avant la crise.

Il va bien falloir rembourser…. La population va réclamer que les plus riches paient !
Les politiciens vont conforter l’opinion public en sanctionnant ceux qui se sont préparés.

Pas mal comme système…

En gros être riche est devenu une insulte, plus que jamais !

Et comme disent les autres :

“You never let a serious crisis go to
waste”, ce qui peut se traduire par “Il ne
faut jamais laisser l’opportunité de
capitaliser sur une crise“.

Ne soyez donc pas surpris de voir les politiciens récupérer cet événement pour faire passer des lois absurdes pendant et
après le coronavirus ! (cf. comme ce qui c’est passé au États-Unis après le 11 septembre 2011)

Ce qui m’inquiète, c’est qu’on peut s’attendre à un forte popularité du socialisme, voire même du communisme dans
les pays à forte fiscalité.

Si vous êtes aisés, vous avez besoin d’un refuge !

Avoir une seconde résidence dans un pays fiscalement avantageux

Ce qui veut dire non seulement qu’en temps de chaos, vous avez un endroit où aller.

Mais aussi après et pendant les retombées économiques, vous avez un lieu pour vous protéger de l’augmentation de
l’impôt sur les revenus visant les plus aisés ou peut-être de nouveaux impôts sur la fortune.

Détenir un compte bancaire à l’étranger.

 

Votre compte bancaire est en première ligne entre le gouvernement et votre liberté !

En cas de difficulté, l’État et les banques peuvent tout simplement confisquer une partie de votre épargne, comme nous
l’avons vu dans certains pays (cf. Chypre en 2008).

Ils se contentent de puiser dans votre compte bancaire parce que vous y avez accumulé trop d’argent.

Il est donc indispensable d’ajouter une couche de sécurité entre votre gouvernement et votre banque.

La plupart des ultra-riches ont d’ailleurs un refuge en lieux sûrs, une deuxième résidence, une entreprise et des comptes bancaires à l’étranger pour multiplier leurs sources de revenus.

Les pays occidentaux vont certainement profiter de cette occasion pour taxer lourdement et cibler en
particulier les hauts revenus.

Il est plus que jamais essentiel aujourd’hui de se préparer.

LifeInvestment vôtre,

Romain